les jours était passer longuement, cela fessait une semaine que j'était avec Fluttershy, mais mon travaille me prener beaucoup de temps,il était 23H, la nuit était tomber, j'était encore dans mes papiers quand les étoiles scintiller au plus fort de la nuit, dans le voile ténébreux de la celle ci.
j'avais finit ma théorie, quand le sommeil me prit, mais j'avais un livre à lire, encore un, je prit un livre, la couverture était fait dans un tissus plutôt doux, je l'ouvrit et regarda chaque mot de celui si, mais je ne fessais que les survoler, je le connaissez que trop bien, c'était mon livre favori...le mien.
non pas un journal intime, mais un livre ou je marquer chaqu'un de mes pensées philosophique.
je pencha la tête et continua de feuilleter sur les pages, mais je m’arrêta sur une des pages, elle avait un mois tout au plus, les pages était encore tacher de mes larmes, j'avais écrit sa alors que j'était perdu dans ma dépressions, j'avais un corde posser sagement sur la table, je venais de faire le noeuf...
mais ce jour la je m'était attacher à la vie, un dernier espoir, un souffle de vie, qui ce nommée Ponyville.
j'avais entendu parler de cette ville, je voulais y refaire ma vie, oublier mon passer, mes pêchées mes erreurs.
j'avais ma croix à porter, mon fardeau, un lourd fardeau, tellement lourd à porter...que cela en était devenu impossible et ou j'ai crut que seule la mort me délivrerai.
J'avais eu raison, ma vie mériter enfin son nom de ''vie'' j'était heureux, j'avais une femme heureuse, un vie heureuse, un travaille heureux, mais pas monotone, dure, mais sans pression.
je vivais enfin, par moi même, en étant moi même, c'était comme un rêve qui devenait réalité...
je ne le savais pas encore mais je dormais, je m'était assoupit sans m'en rendre conte, laissent mon livre, mes œuvres, mon travaille sur le bureau...comme ma bougie...
peut être que le vent était trop fort, peut être qu'elle était tomber, mais je me rappelle juste avoir sentit un souffle douloureux de chaleur, avoir vu un mur rouge comme le sang, et puis plus rien...
l’incendie à éclater vers 1H du matin, il ne rester que les poutres porteuse, qu'elle que meuble qui n'avais pas brûler, le reste était partit en fumée, il n'en rester que des cendres calcinée...
mais dans les masses de suies noire, alors qu'il ne semblait rester que des braises encore chaude, et du charbon de bois... on pouvait voir un morceaux de metal dorée, qui avait bravée les flammes et qui osée encore briller dans le noir de la suie, c'était une alliance, il y avait encore graver dessus ''Pour la plus belle femme du monde. Arthas''
End